Algérie
La stèle commémorative de Maurice Audin, militant de la cause algérienne, inaugurée à Alger
ALGER- La stèle commémorative de Maurice Audin, militant de la cause algérienne assassiné par l’armée coloniale française, a été inaugurée dimanche à la Place portant son nom à Alger, et ce à la veille de la commémoration du 65ème anniversaire de sa tragique disparition.
La cérémonie d’inauguration lors de laquelle le buste du défunt militant de la cause algérienne s’est déroulée en présence de Pierre Audin, fils de Maurice Audin et le président de l’Association Josette et Maurice Audin, Pierre Mansat, le wali d’Alger, Ahmed Maabed, des autorités locales et militaires et des citoyens.
Le fils du militant de la cause algérienne a exprimé sa « fierté » de se retrouver sur cette place qui porte le nom de son père, « un partisan de l’indépendance de l’Algérie », a-t-il souligné.
Pour le wali d’Alger, il s’agit d’un jour « important » qui confirme la consécration de « la grandeur et la bravoure de Maurice Audin qui a sacrifié sa vie pour la cause algérienne ».
L’Algérie a franchi « un grand pas » sur la voie du recouvrement de sa place dans les fora régionaux et internationaux
Le président de l’Assemblée populaire nationale (APN), M. Brahim Boughali a affirmé, dimanche, que l’Algérie avait franchi « un grand pas », sous la direction du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, pour recouvrer la place qui est sienne dans les fora régionaux et internationaux.
« Nous voilà en passe de préparer le lancement qualitatif de la diplomatie parlementaire, à compter d’aujourd’hui, d’autant que l’Algérie a franchi un grand pas sous la direction de Monsieur Abdelmadjid Tebboune, dans le recouvrement de son image et de sa place dans les fora régionaux et internationaux. Le Parlement est appelé à être à la hauteur de cette haute performance », a souligné M. Boughali dans son allocution d’ouverture d’une Journée de formation au profit des députés membres des groupes parlementaires d’amitié avec les pays africains, organisée au siège de l’APN.
A cette occasion, le président de la chambre basse du Parlement a appelé les députés chargés de missions dans le cadre des groupes parlementaires d’amitié à être « une source d’enrichissement pour la diplomatie algérienne dans une conjoncture extrêmement sensible sur le plan international », affirmant l’impératif d’assurer un traitement adéquat et efficace des dossiers pour « hisser très haut l’emblème national et défendre les intérêts suprêmes de l’Algérie ».
Il les a également exhortés à améliorer le niveau de performance « en synergie avec la politique étrangère du pays et conformément à des vision définies par le président de la République ».
Cette formation permettra d’acquérir de nouvelles connaissances et développer les compétences, a souligné le président de la chambre basse du Parlement, rappelant que l’Algérie accueillera cette année, deux importants rendez-vous, à savoir le Sommet arabe et la Conférence des assemblées des pays membres de l’Organisation de la conférence islamique (OCI).
Depuis une année, le Parlement ne ménage aucun effort pour être au diapason de l’action des autres institutions constitutionnelles et a occupé une place de choix dans les fora internationaux pour faire entendre, haut et fort, la voix de l’Algérie concernant les questions d’actualité.
Soulignant la nécessité d’arrêter un plan de travail « méthodique » pour les groupes parlementaires avec les pays frères et amis. Les journées de formations contribueront, certainement, à « la facilitation de cette démarche », notamment « la transmission des principes de notre politique étrangère basée sur le bon voisinage, la non ingérence aux affaires internes des pays, la promotion de la paix et de la sécurité, le règlement pacifique des conflits, le soutien des causes justes notamment la libération des dernières colonies, la sécurité alimentaire, une priorité du président de la République, en sus de la promotion de l’investissement, le renforcement de l’industrie nationale et la relance du tourisme ».
L’Algérie restera toujours « une source éternelle de paix, de stabilité et de développement », a mis en avant M. Boughali, soulignant que « dans le domaine des affaires étrangères que ce soit au niveau des groupes parlementaires, ou des relations bilatérales ou multilatérales, il n’y a pas de place aux différends ou aux positions partisanes ».
« En traitant les dossiers de la politique étrangère, toute appartenance doit céder le terrain à la loyauté envers la patrie et envers les intérêts suprêmes du peuple », a-t-il soutenu, invitant, à ce propos, les membres des groupes parlementaires à s’employer à ériger les groupes d’amitié en des passerelles d’amitié, de coopération et d’échange avec leurs confrères étrangers, l’objectif étant de « coordonner les positions et discuter des questions communes au mieux des intérêts des deux parties ».
D’autre part, les députés ont tenu à expliquer que l’intérêt des groupes parlementaires ne se limite pas aux partenaires de notre pays, mais il est également « lié à notre communauté nationale à l’étranger, laquelle constitue une source fondamentale en mesure de tisser des relations solides avec les pays dans lesquels elle se trouve ».
Au cours de cette journée, seront abordées des questions économiques et commerciales avec l’Afrique, ainsi que l’utilisation et les enjeux des technologies de l’information et de la communication.
A noter que l’APN organisera, mercredi prochain, une autre Journée de formation pour les membres des groupes parlementaires d’amitié avec les pays arabes et asiatiques, et deux autres Journées de formation au profit des membres des groupes parlementaires d’amitié avec les pays européens (12 juin), et avec les Amériques (15 juin).
Au menu du programme de cette session de formation figurent des communications d’universitaires et de cadres du ministère des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, ainsi que des interventions de cadres de l’APN.
Sport
Algérie – Ouganda (2-0): les Verts retrouvent la confiance et pensent à la Tanzanie
ALGER – Deux mois après la cruelle élimination en barrages de la Coupe du monde 2022 face au Cameroun, l’équipe nationale de football a réussi son retour à la compétition, en battant, sans panache, l’Ouganda (2-0), samedi soir au stade olympique du 5-juillet, à l’occasion de la journée inaugurale (Gr.F) des qualifications de la Coupe d’Afrique des nations CAN-2023.
Sur la pelouse du stade olympique du 5-juillet d’Alger, qu’ils ont retrouvé pour la circonstance, les coéquipiers du buteur maison, Islam Slimani ont mis à profit cette rencontre face aux « Cranes » pour tourner définitivement la page du Mondial 2022 et se projeter sur l’avenir, et la nécessité de « reconstituer un groupe fort et compétitif », comme l’a si bien signifié le coach national Djamel Belmadi, lors de la conférence de presse d’avant-match.
Face à un adversaire moyen, qui n’a représenté aucun danger pour les « Verts », la sélection algérienne a maîtrisé son jeu avec une possession supérieure à 80%, mais a pêché par un manque d’automatises au niveau offensif.
Le score aurait pu être lourd pour l’Ouganda qui a adopté un plan de bataille purement défensif, évoluant avec bloc très bas et des joueurs agressifs sur le porteur du ballon.
« Ce n’était pas facile après la désillusion du mois de mars, il était dur de se remettre dans ces qualifications à la CAN, il n’était pas évident de se remettre dedans, les joueurs étaient concentrés et vraiment déterminés. Bravo aux joueurs », a réagi Belmadi à l’issue de la partie.
Pour ce premier match post-élimination du Mondial 2022, Belmadi a présenté un onze inédit avec notamment la titularisation, pour la première fois, du gardien de but Mustapha Zeghba (Damac FC/ Arabie saoudite), qui a réussi à repoussé un penalty (33e) quelques minutes après l’ouverture du score signée Mandi (28e).
Sur le plan défensif, le coach national a aligné une charnière centrale formée pour la première fois d’Ahmed Touba et d’Aïssa Mandi. Sans pour autant mis en difficulté, ce duo a rendu une belle copie en faisant preuve d’une bonne entente, ce qui devrait donner plus de choix pour Belmadi dans l’avenir et surtout redistribuer les cartes en vue des prochaines rencontres.
L’ailier droit du Stade brestois (France) Youcef Belaïli, auteur du deuxième but de la partie (80e) suite à un travail individuel remarquable, a ravi la vedette en réalisant une prestation de haute facture, confirmant son retour au premier plan.
« Les joueurs comme Belaïli ont besoin de toutes leurs facultés physiques pour être au top de leur forme. Le fait qu’il soit en Europe lui a permis de hausser un peu plus son niveau. Je suis vraiment content qu’il ait choisi de rester en Ligue 1 française. Lorsqu’il est comme ça dans sa forme physique, il est intenable. On est heureux qu’il soit aussi performant », a souligné Belmadi.
En assurant l’essentiel face à l’Ouganda, l’équipe nationale est appelée à confirmer ce succès, mercredi en déplacement face à Tanzanie, qui a tenu en échec samedi le Niger à Niamey (1-1), tout en réajustant quelques réglages.
Les « Verts » devront hisser leur niveau de jeu pour espérer aligner une deuxième victoire de suite et conforter leur position de leader, face à une équipe de Tanzanie qui aura l’avantage du terrain et du public.
Monde
Moyen Orient
55e anniversaire de la « Naksa »: les Palestiniens continuent de subir l’escalade sioniste
La Palestine commémore dimanche le 55e anniversaire de la « Naksa », ou Guerre des Six jours de juin 1967, lors de laquelle l’entité sioniste a parachevé l’occupation du reste des territoires palestiniens, au moment où les Palestiniens continuent de subir une escalade sioniste de plus en plus dangereuse.
Plus d’un demi siècle après, les violations à l’encontre du peuple palestinien n’ont pas cessé, à l’image de ces agressions quotidiennes contre les fidèles d’Al-Aqsa.
A la lumière de « l’incapacité » de la communauté internationale à obliger l’entité sioniste à « respecter le droit international et les résolutions internationales », les dirigeants palestiniens sont en train de prendre des mesures pour faire face à l’escalade sioniste, avait déclaré mardi, le président palestinien Mahmoud Abbas au cours d’une rencontre à Ramallah, avec le ministre jordanien des Affaires étrangères, Ayman Safadi.
Il a dénoncé l’escalade dangereuse, « les actions criminelles et la discrimination raciale » qui « ont lieu grâce au silence américain sur les provocations, ainsi que sur les pratiques qui violent de manière flagrante le droit international ».
M. Abbas a notamment évoqué les incursions quotidiennes d’extrémistes sionistes sur le site sacré d’Al-Aqsa à Al-Qods-Est, y compris ce qui est appelé +la marche des drapeaux+ dans la vieille ville.
Le Premier ministre palestinien Muhammad Shtayyeh a, quant à lui, indiqué que l’occupant sioniste « a franchi toutes les lignes rouges » et les accords internationaux, soulignant que les condamnations « ne suffisent pas » et que le monde « doit protéger le droit et la légitimité internationale ».
Ce dimanche, le Secrétariat général de la Ligue arabe a appelé le Conseil de sécurité de l’ONU à mettre fin à l’occupation sioniste et assurer la sécurité et la paix au peuple palestinien dans les territoires palestiniens occupés depuis 1967.
La Guerre des Six jours avait eu lieu du 5 au 10 juin 1967 entre l’entité sioniste d’une part et l’Egypte, la Syrie et la Jordanie d’autre part. Elle avait permis aux Sionistes de parachever l’occupation du reste des territoires palestiniens, y compris la bande de Ghaza, la Cisjordanie, dont Al-Qods Al-Chérif (5.878 km²), les hauteurs du Golan de Syrie et le Sinaï (Egypte).
Et après le retrait des forces jordaniennes et leur retour à l’est du Jourdain, la frontière avec la Jordanie a été réduite de 650 à 480 km.
De plus, la force occupante avait pillé une grande partie de la richesse de la Cisjordanie occupée,-le cœur géographique de la Palestine historique-, et entamé la judaïsation d’Al-Qods de manière planifiée et systématique, s’emparant ainsi de vastes zones.
En conséquence, l’entité sioniste avait expulsé de force quelque 300.000 Palestiniens de leurs maisons, ainsi que des milliers de Syriens, face aux plans expansionnistes (nouvelles unités coloniales, spoliations des terres palestiniennes …), -qui se poursuivent en parallèle à ce jour-, piétinant toutes les résolutions des Nations unies.
La guerre avait entraîné la mort de 15.000 à 25.000 personnes parmi les Arabes.
En 2021, la Commission pour les affaires des détenus et des ex-prisonniers de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) avait fait état d’environ un million de Palestiniens arrêtés depuis le 5 juin 1967, parmi lesquels 226 prisonniers ont été tués durant leur détention dans les prisons sionistes à la suite de torture et de négligence médicale, outre des meurtres prémédités après leur arrestation.
France
Six ministres menacés aux législatives
Les élections législatives en France ? Ce sera la bataille de tous les dangers pour six ministres, dont Clément Beaune à Paris. Dans la 7e circonscription de la capitale, un sondage Ifop pour Le Journal du Dimanche et SudRadio indique que la candidate insoumise Catherine Mecary virerait en tête au premier tour : 41% des intentions de vote pour elle, contre 36% pour le ministre chargé de l’Europe. Au second tour, la candidate de gauche l’emporterait, avec 51% des voix, contre 49% à Clément Beaune, indique Le JDD.
Le risque d’être battu, et donc de devoir être exclu du gouvernement ? Il est « réel » pour « six ministres en situation délicate », prévient cet hebdomadaire. Outre Clément Beaune, Le JDD évoque les cas de Justine Bénin, en Guadeloupe, Amélie de Montchalin, dans l’Essonne, près de Paris, Stanislas Guérini, à Paris, Brigitte Bourguignon, dans le nord de la France, et Damien Abad, dans l’est.
Dans Le Journal du Dimanche également, Manuel Bompard, bras droit de l’Insoumis Jean-Luc Mélenchon, accuse Emmanuel Macron de vouloir « enjamber les législatives », et pense que les candidats de la Nupes (l’alliance de gauche), peuvent être « présents au second tour dans près de 500 circonscriptions » sur 577.
KO debout pour Darmanin après le chaos du Stade
Et la polémique sur le chaos, il y a huit jours, au Stade de France, n’a rien arrangé pour le gouvernement, et notamment pour le ministre de l’Intérieur. Le magazine L’Express n’est pas tendre avec Gérald Darmanin. « Le fiasco de la finale de la Ligue des champions au Stade de France (…) et ces images de chaos diffusées en mondovision racontent bien un dysfonctionnement de la chaîne policière. N’en déplaise aux rodomontades de Gérald Darmanin », martèle L’Express.
La guerre en Ukraine à présent, avec, cette semaine, des interrogations sur l’état de santé du président russe. Vladimir Poutine malade ? C’est ce qu’a affirmé Newsweek. Se référant à un rapport classifié établi fin mai par Washington, ce magazine américain affirme que Vladimir Poutine aurait subi un traitement en avril pour un cancer « à un stade avancé ».
En France, l’hebdomadaire L’Obs signale que Vladimir Poutine « se déplace avec une équipe de cinq médecins (dont un spécialiste du cancer de la thyroïde) », et qu’il doit participer à des réunions « coupées de pauses pour recevoir des soins ».
Rupture de stock à l’arsenal
Sur le terrain, la situation militaire demeure confuse dans la région orientale du Donbass, où les belligérants commencent à être à court de munitions, à commencer par l’armée ukrainienne. Peu après le début de l’offensive russe, l’état-major ukrainien ayant déclaré avoir besoin de 500 missiles antichar Javelin par jour, l’hebdomadaire L’Express souligne que « les capacités de production annuelle atteignent difficilement les 6 000 pièces par an ». Selon ce magazine, « le cas des munitions de conception soviétique, encore largement employées par les forces ukrainiennes, apparaît comme l’autre grand point noir. Au rythme actuel des combats, elles seront très rapidement épuisées ». Et passer à des systèmes d’armes occidentaux « va nécessairement prendre du temps », avertit un ancien commandant des forces américaines en Europe du nom de Ben Hodges dans L’Express.
La lilliputienne Moldavie
Voisin mitoyen de l’Ukraine, il est un pays que le sort de l’Ukraine inquiète vivement, c’est la Moldavie. « Le bruit des bottes qui écrasent impitoyablement l’Ukraine est devenu assourdissant. Et la Moldavie a déposé le 3 mars sa candidature d’adhésion à l’Union européenne. Voire à esquisser un rapprochement inouï avec l’Otan, pointe L’Obs. Que pourrait en effet sa maigre armée de terre de 6 000 hommes face au Gargantua voisin ? », interroge cet hebdomadaire, d’une question qui contient sa réponse.
Europe
Automobile: Mercedes rappelle près d’un million de véhicules à cause de problèmes de freins
Mercedes va rappeler près d’un million de véhicules dans le monde. En cause, d’après l’Autorité allemande des transports, il y a un problème avec le système de freins qui pourrait provoquer des accidents. Le constructeur allemand est loin d’être le seul affecté par ce genre de rappels. Ils se sont multipliés chez plusieurs marques ces derniers mois.
Cette usure pourrait, dans le pire des cas, provoquer des accidents d’après l’Autorité fédérale allemande des transports qui a constaté le défaut. Le groupe a confirmé l’information à l’Agence France-Presse en précisant qu’un freinage « particulièrement fort » pourrait causer des dégâts mécaniques en de rares cas de sévère corrosion du système. Dans un marché automobile allemand en méforme, Mercedes se serait bien passé de cette mauvaise nouvelle.
Rappels massifs
Mais il n’est pas le seul, loin de là, à rappeler massivement des voitures. À l’heure où les véhicules embarquent des systèmes électroniques de plus en plus sophistiqués, les problèmes logiciels dominent. Ainsi, l’américain Tesla a multiplié les rappels de voitures électriques ces derniers mois : 100 000 en Chine en mai. Peugeot faisait de même pour des 208 et 2008. Quant à l’américain Ford, il rappelait au même moment 350 000 véhicules aux États-Unis, dont des SUV dont le moteur risque de prendre feu.
Grèce:
Une saison touristique qui s’annonce florissante après la levée des restrictions Covid
En Grèce, depuis cette semaine, le 1er juin, le port du masque n’est plus obligatoire dans les espaces clos, à l’exception de certains transports en commun. Cette levée des dernières contraintes relatives à la lutte contre le coronavirus marque aussi, dans le même temps, le démarrage de la haute saison touristique estivale. Car, dans ce pays, le tourisme constitue un pilier fondamental de l’économie du pays.
À Mykonos, qui cultive une image de luxe et de fête, et qui est aussi un symbole du tourisme de masse, le correspondant de RFI en Grèce, Joël Bronner, a pu discuter avec plusieurs professionnels du secteur de « l’hospitalité », comme disent souvent les Grecs. Au vu des chiffres connus (réservations, nombre de transports qui doivent transiter par l’île) le constat, sur place, est unanime : tous s’attendent à une saison touristique avec encore plus de visiteurs, et donc aussi encore plus de bénéfices qu’en 2019.
2019, c’est l’année de la dernière saison touristique « normale », c’est-à-dire avant l’arrivée du Covid-19, qui a raccourci la durée, ici, des deux dernières saisons. Mais 2019 a aussi, et surtout, été une année record pour le tourisme en Grèce. Près de 33 millions de visiteurs se sont rendus dans le pays cette année-là, dont environ 2 millions, qui sont passés par la petite île de Mykonos, dans les Cyclades.














