Dans les mémoires collectives, l’Algérie incarne la résilience et le combat. Elle n’est pas une nation née du confort ou de la soumission, mais de la lutte, du sang et du feu.Ce pays ne s’est pas contenté d’exister ; il a arraché sa place dans l’histoire. Il a fait de la douleur une force, de l’oppression une école, et de l’indépendance une mission sacrée.« Celui qui ne connaît pas son passé est condamné à le revivre. » – Sun Tzu
Longtemps absorbée par des querelles internes, la Nation algérienne a tenu debout, même lorsque certains misaient sur sa chute. Malgré les manques, malgré les vents contraires, l’Algérie ne rompt pas. Elle avance. Et aujourd’hui, plus que jamais, elle porte une mission noble : celle de pacificateur et de bâtisseur continental.Pendant que d’autres s’adonnent à la discorde dans des salons feutrés, à coups de mensonges et d’accusations déconnectées, l’Algérie reste debout. Fidèle. Sereine. Inflexible.Oui, certaines paroles extraites de leur contexte, éveillent l’amertume chez les esprits fermés. Mais pour ceux qui savent maîtriser leurs émotions, lorsque vous êtes éveillés (e) ces mots sont des éclairs de vérité. Car la sagesse commence là où s’arrête l’orgueil. Alors que certains ont vendu leur voix pour quelques dollars, oubliant leur nom, leur terre et jusqu’à leur sang, soumis au dieu dollars, reléguant dans l’oubli leur familles, l’Algérie, elle, garde sa colonne vertébrale. Elle refuse de plier. Elle refuse la recolonisation de pays africains, même maquillée de diplomatie.
À travers le président Abdelmadjid Tebboune, l’État algérien entend inscrire son empreinte dans l’Histoire, non pas à la marge, mais au cœur des enjeux du continent africain, qu’y a-t-il au fond de meilleur que des dirigeants qui souhaitent la paix et la stabilité quand d’autres fustigent ces notions de liberté et de paix pour favoriser des dialogues dénués de sens mais qui au fond reflètent leur propre vérité du moment « la chute ».Et que dire de ceux qui, nourris dans nos écoles, soignés dans nos hôpitaux, instruits sur nos bancs, osent aujourd’hui salir la main qui les a élevés ? Ils ont oublié que ce qu’ils ont reçu ici, nulle part ailleurs ils ne l’auraient obtenu. Ils ont vendu leur essence contre du vent.Mais ce peuple n’a pas oublié. Il sait. Il sent. Il vibre.« Si tu veux savoir ce qu’est l’honneur, regarde un peuple qui se tient debout même lorsqu’il est seul. » – Sun Tzu
Oui, nous avançons, parfois dans la douleur. Mais nous avançons. Avec foi. Avec courage. Avec cette certitude que le meilleur est à venir. Car en chacun de nous coule le sang de nos martyrs. En chacun de nous vit un Ali La Pointe, un Larbi Ben M’hidi, un Didouche Mourad, un Zighoud Youcef.Ils ne sont pas morts. Ils sont vivants en nous.Alors ne demandez pas ce que l’Algérie peut faire pour vous. Demandez-vous ce que vous pouvez offrir à l’Algérie.Car ce pays ne quémande rien. Il se suffit à lui-même. Mais vous, vous avez un devoir : celui de transmettre ce legs à ceux qui arrivent.
À nos détracteurs :
Vos attaques nous ont soudés. Vos mensonges nous ont éclairés. Plus que jamais, nous sommes là. Présents. Déterminés. Invincibles.
Par Nabil Khalfaoui
