Par Nabil Khalfaoui
« Le plus grand danger ne vient pas toujours de l’ennemi déclaré, mais de l’ami qui vous sourit en cachant un poignard. »
Le khawatisme… Ce cheval de Troie qui s’avance sous un manteau de fraternité feinte, mais qui charrie dans ses entrailles la rouille de la trahison.
Il faudrait être frappé d’amnésie profonde pour croire, ne serait-ce qu’un instant, à l’idée de marcher, main dans la main, avec ceux qui ont toujours choisi notre dos pour planter leur lame.
Je vais vous conter une histoire.
Il y a fort longtemps, dans un royaume voisin, régnait un roi solitaire et craintif. Soumis jusqu’à la moelle aux diktats de l’étranger, il allait jusqu’à interdire les fêtes de son propre peuple, par peur de froisser ses maîtres. Ces mêmes maîtres, dont les mains ruisselaient du sang des innocents, avaient, hier encore, semé le chaos et la mort à une échelle planétaire, reléguant les horreurs de la Seconde Guerre mondiale au rang de simples pages d’histoire.Aujourd’hui, ce roi tend la main à l’Algérie. Mais derrière son dos, dans l’ombre, l’autre main serre le manche d’un couteau.Et l’Algérie n’est pas dupe.Comment pourrait-elle s’asseoir à la table des assassins ? Même pas dans un rêve.
Les khawatistes, eux, brandissent la bannière de la fraternité entre Algériens et Marocains. Mais leur silence est assourdissant face aux massacres de femmes et d’enfants en Palestine. Pas un mot. Pas un geste. Pas un souffle. Leur mission est ailleurs : éteindre la vigilance du peuple, détourner notre regard de l’opprimé, et dissoudre dans l’oubli le feu sacré du nationalisme algérien.
« Le traître n’a pas de patrie, seulement un prix. »
Ce qu’ils n’avaient pas prévu, c’est la riposte.
Sur les réseaux sociaux, des centaines d’influenceurs patriotiques, hommes et femmes, se dressent chaque jour contre cette propagande. Ils exposent les mensonges, démontent les discours du makhzen, dénoncent les sionistes et pointent du doigt les traîtres algériens qui ont vendu leur honneur. Leur voix est une armée. Leur travail est méthodique, précis, implacable. Ils sont les gardiens de la mémoire et les sentinelles du présent.
« Quand l’obscurité envahit un cœur, il ne reste qu’une coquille vide. »
Accepter le discours du khawatisme, c’est croire que le loup peut devenir végétarien. Alors dansez, matadors du mensonge. Agitez vos pantins et piquez vos porcs. Nous, nous guettons.
Et souvenez-vous : jamais l’Algérie ne tombera dans le piège du traître. Jamais.
N. K