Dés le début d’avril, dans les rues de Guayaquil on aperçoit des corps abandonnés, faute de pouvoir être enterrés à temps à force d’attendre et faire des kilomètres.
En Equateur, le bilan officiel du Covid-19, n’est pas exacte et il devra très largement être revu à la hausse, évaluent les spécialistes. La ville équatorienne de Guayaquil, particulièrement frappée par la pandémie de coronavirus des cadavres dans les rues, tente de faire face à l’augmentation des décès avec des cercueils en carton les victimes.
À l’Ouest de Guayaquil, les employés de la mairie travaillent sans aarêt à agrandir le cimetière Angel Maria Canales. Il y a plusieurs environ 200 caveaux sont en cours de finition et plus de 4 000 sont en prévision. Le chantier est urgent devant le nombre de décès provoqués ces dernières semaines par le coronavirus dans cette province tropicale de l’Équateur.
Rédaction SALAMA
















