Salama News

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Algérie

Président Tebboune désigne trois nouveaux membres au titre du tiers présidentiel
 Le Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a désigné jeudi MM. Djelloul Harouchi, Mohamed Laagab et Mohamed Abdenour Rabhi membres du Conseil de la nation au titre du tiers présidentiel, a indiqué jeudi un communiqué de la Présidence de la République. En vertu des dispositions des articles 91 (alinéa 07) et 121 (alinéa 03) de la Constitution et du décret présidentiel signé ce jour le 27 ramadhan 1443, correspondant au 28 avril 2022, le Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a désigné MM. Djelloul Harouchi, Mohamed Laagab et Mohamed Abdenour Rabhi, membres du Conseil de la nation au titre du tiers présidentiel », lit-on dans le communiqué.

L’ANP « restera le bouclier et le rempart imprenable de la Nation »

Le Général de Corps d’Armée, Saïd Chanegriha, Chef d’Etat-major de l’Armée nationale populaire (ANP), en visite de travail et d’inspection jeudi à la 3ème Région militaire, a affirmé que l’ANP « restera le bouclier et le rempart imprenable de la Nation », tout comme elle demeurera le « garant » de la sécurité et de la stabilité du pays, indique un communiqué du ministère de la Défense nationale. L’ANP était et restera le bouclier et le rempart imprenable de la Nation, tout comme elle demeurera le gardien de la grandeur du pays, le défenseur de ses frontières et de sa souveraineté et le garant de sa sécurité et de sa stabilité », a indiqué le Général de Corps d’Armée qui effectue une visite au Secteur Opérationnel Centre (3ème Région militaire), dans le cadre de ses visites aux différentes Régions militaires, en ce mois sacré de Ramadhan.

« Pétrie de patriotisme et populaire de par ses origines, cette Armée s’acquitte de ses missions à la lumière des orientations de Monsieur le Président de la République, Chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale, en étant entièrement consciente de l’ampleur des défis et des enjeux à relever, notamment à l’aune des évolutions enregistrées dans notre environnement régional et international, dont les répercussions sur la sécurité et la stabilité du pays sont bien connues de notre armée », a ajouté M. Chanegriha qui a tenu une rencontre avec les cadres du Secteur Opérationnel Centre, après la cérémonie d’accueil, par le Général-major Mostefa Smaali, Commandant de la 3e Région militaire. Le Général de Corps d’Armée a assuré, lors d’une allocution d’orientation, suivie via visioconférence par l’ensemble des personnels des unités de la Région, que l’ANP « demeurera pour toujours le symbole de la vaillance et de la bravoure, mais également un vivier intarissable de loyauté et fidélité au serment prêté à nos valeureux prédécesseurs ».

« Bouclier protecteur du pays et garant de sa souveraineté et de son indépendance, l’ANP veille au maintien de la sécurité et de la stabilité à travers l’ensemble du pays. Engagée dans ces efforts, avec fermeté et détermination, elle défend les frontières nationales et lutte contre le terrorisme et le crime organisé, et enregistre des résultats exceptionnels, sur le terrain, en faisant preuve de professionnalisme et d’efficacité », a-t-il affirmé. Pour le Général de Corps d’Armée, « ces résultats probants sont le fruit du  professionnalisme atteint par nos Forces armées, ainsi que des capacités de combat et de la haute aptitude opérationnelle dont elles jouissent aujourd’hui grâce aux étapes de développement franchies par l’ANP sur tous les niveaux et dans tous les domaines ».

Il a ajouté que l’ANP « est bien consciente que la préservation du legs des Chouhada est le devoir de tous les fidèles enfants de cette patrie, à leur tête l’ANP, digne héritière de l’Armée de libération nationale, qui demeurera pour toujours le symbole de la vaillance et de la bravoure, mais également une source intarissable de loyauté et de fidélité au serment prêté à nos valeureux prédécesseurs ».

A l’issue de cette rencontre, le Général de Corps d’Armée a longuement suivi les interventions et suggestions des cadres et des personnels des unités de la 3ème Région militaire et a également émis un ensemble d’orientations et d’instructions portant sur « l’impératif de faire preuve davantage de vigilance et de veille afin de relever tous les défis au niveau de cette Région vitale », conclut le communiqué du MDN.

Transport :

Métro, tramway et transports par câble : les horaires du Ramadhan maintenus durant Aid El Fitr

Les horaires de circulation des métros, tramway et transports par câble appliqués durant le mois de Ramadhan seront maintenus durant les deux jours de l’Aïd El Fitr, a indiqué jeudi un communiqué de l’Entreprise Métro d’Alger (EMA).

A ce titre, l’EMA a informé ses usagers que le métro d’Alger circulera de 7h00 à 1h00 du matin, précise la même source.

Pour ce qui est des tramways d’Alger, Constantine et Sétif, ils seront en service de 7h00 à 1h00 du matin, alors que ceux d’Oran et de Sidi Bel Abbès assureront leurs dessertes de 7h00 à minuit.

Quant au tramway d’Ouargla, il sera opérationnel de 6h30 à 1h00 du matin, ajoute le communiqué.

Concernant les transports par câble, la télécabine de Bab El Oued sera opérationnelle de de 7h00 à minuit, le téléphérique mémorial de 8h à minuit, tandis que le téléphérique du Palais de la culture sera ouvert aux usagers de 8h à 18h30.

La télécabine de Blida, pour sa part, sera en service de 8h00 à 18h00.

Quant à la télécabine de Tlemcen, elle fonctionnera de 8h00 à minuit, détaille l’EMA, alors que celle de Tizi-Ouzou fonctionnera de 7h30 à minuit.

Espagne:

Le Sénat rejette le changement de la position de Madrid sur le Sahara occidental

Le Sénat espagnol a adopté mercredi soir une motion rejetant le changement radical de la position du gouvernement espagnol sur la question du Sahara occidental.

Lors d’une session au Sénat espagnol, 139 membres ont voté pour la motion présentée par le Groupe confédéral de la gauche, pour demander à la plénière d’exprimer sa « désapprobation » face au changement « radical » de la position du gouvernement sur le conflit au Sahara occidental, occupé par le Maroc depuis 1975.

C’est la première fois que le Sénat espagnol débat en plénière de ce sujet après que plusieurs blocs politiques parlementaires espagnols aient asséné des critiques acerbes au chef du gouvernement espagnol Pedro Sanchez en raison de ses violations des résolutions des Nations unies relatives au conflit au Sahara occidental et du droit international.

En outre, le Sénat a voté en faveur du soutien aux résolutions des Nations unies et de sa mission pour l’organisation d’un référendum d’autodétermination au Sahara occidental (MINURSO).

Ce vote intervient, selon les membres du Sénat, pour consolider leur conviction que « seuls le dialogue, la négociation et l’accord menés de bonne foi et de manière constructive, conformément au droit international contribueront à parvenir à une solution politique juste, réaliste, viable, durable et acceptable pour les deux parties au conflit au Sahara occidental », en l’occurrence le Royaume du Maroc et le Front Polisario.

Le Sénat a, par ailleurs, rappelé que le gouvernement espagnol « a modifié unilatéralement sa position par rapport au conflit du Sahara occidental, en violation des résolutions des Nations unies et du droit international ».

Ce changement signifie de facto soutenir la voie proposée par le Maroc, abandonnant la base d’une solution politique mutuellement acceptable, comme énoncé dans les résolutions de l’ONU, selon le Sénat qui a tenu à préciser que cette décision a été prise sans consultation avec aucun groupe politique, ni partage avec la majorité parlementaire.              

Par ailleurs, les membres du Sénat ont réaffirmé que la voie politique de résolution du conflit entre le Front Polisario et le Royaume du Maroc est basée sur les différentes résolutions des Nations unies, appelant à une solution négociée, satisfaisante pour les deux parties, promue par la MINURSO et bénéficiant aujourd’hui du soutien des institutions internationales et européennes, ainsi que de la majorité sociale et politique, représentée au Sénat.

Le vote du Sénat espagnol est intervenu également après un vote similaire à la Chambre des députés espagnole le 7 avril, ce qui augmenterait l’isolement de Pedro Sanchez.

Le Parlement espagnol avait approuvé une proposition soumise par trois blocs parlementaires critiquant le « virage unilatéral et illégal » pris par Pedro Sanchez sur le conflit au Sahara occidental, une position qui doit être « corrigée », tout en insistant sur les résolutions des Nations unies appelant à l’organisation d’un référendum d’autodétermination du peuple sahraoui.

USA

Biden va demander 33 milliards de dollars au Congrès pour l’Ukraine

Joe Biden va accentuer jeudi la pression sur Moscou en demandant au Congrès une colossale rallonge budgétaire de 33 milliards de dollars pour livrer toujours plus d’aide militaire à Kiev, et en proposant de liquider les avoirs d’oligarques russes pour compenser les dégâts subis par l’Ukraine.

Le président américain doit prendre la parole à 10H45 (14H45 GMT) pour réaffirmer son « soutien aux Ukrainiens qui défendent leur pays et leur liberté contre la guerre brutale de la Russie », a indiqué la Maison Blanche.

Il va donc demander au Congrès de débloquer 33 milliards de dollars supplémentaires pour répondre à la guerre en Ukraine, dont 20 milliards en aide militaire, a indiqué jeudi un haut responsable américain.

Cette énorme « assistance militaire et sécuritaire » équivaut à « des armes et des munitions allant au peuple ukrainien », a ajouté ce responsable.

M. Biden compte également proposer de liquider tout ou partie des avoirs « kleptocratiques » saisis auprès d’oligarques russes et d’en transférer le produit à Kiev « pour compenser le préjudice causé par l’agression russe », a précisé l’exécutif américain dans un communiqué, une mesure pour laquelle il a besoin de l’accord du Congrès.

Les Etats-Unis ont déjà fourni plus de 3 milliards de dollars d’armement à l’Ukraine depuis l’invasion russe déclenchée le 24 février. La Maison Blanche cherche désormais à obtenir un financement suffisant pour pouvoir étendre cette aide jusqu’à octobre.

Achoppement

Mais, au Parlement américain, où le soutien à Kiev est pourtant unanime, les discussions achoppent sur le contenu de la loi censée accroître l’aide militaire: les démocrates veulent y insérer un amendement pour augmenter du même coup le budget de la lutte anti-Covid aux Etats-Unis, ce que les républicains refusent catégoriquement.Si le chef des sénateurs démocrates Chuck Schumer essaie de lier les deux, « ça condamnera probablement les deux » à l’échec, a prévenu un membre de la direction républicaine au Sénat.

Pour l’Ukraine, cette aide est pourtant urgente: plus de deux mois après le début du conflit, la Russie a redoublé ses assauts sur le sud et l’est du pays, qui subissaient jeudi un feu nourri de bombes.

Et, après s’être cantonné à des armes vues comme défensives, Washington ne retient plus guère ses coups, envoyant désormais artillerie, hélicoptères et drones à l’armée ukrainienne, dont des soldats sont formés au maniement de ces armes aux Etats-Unis ou dans des pays tiers avant de retourner au front.

30 milliards saisis dans l’UE

Du côté des sanctions financières, les pays de l’Union européenne (UE) ont à ce jour saisi plus de 30 milliards de dollars d’avoirs russes dont près de 7 milliards en biens de luxe appartenant aux oligarques (yachts, oeuvres d’art, immobilier et hélicoptères), a indiqué la Maison Blanche dans son communiqué.

Les Etats-Unis ont quant à eux « sanctionné et bloqué des navires et avions pour une valeur de plus d’un milliard, ainsi que gelé des centaines de millions de dollars d’avoirs d’élites russes sur des comptes américains ».

Et, ce mois-ci, l’Espagne a accédé à une requête américaine visant à saisir un superyacht, d’une valeur de 90 millions de dollars, appartenant au milliardaire russe Viktor Vekselberg, un proche allié du président Vladimir Poutine.

Des mesures punitives qui ne devraient pas faiblir, la Maison Blanche promettant jeudi de continuer à « sévir » contre les manoeuvres « d’évitement des sanctions » en renforçant les capacités américaines d’investigations et de poursuites contre les oligarques tentés de s’y soustraire.

France
Pas de nouveau gouvernement avant au moins une semaine

Ce n’était finalement pas le dernier Conseil des ministres de ce gouvernement. Son porte-parole Gabriel Attal a affirmé jeudi que l’équipe actuelle se retrouverait la semaine prochaine avant la formation d’un nouveau gouvernement pour le deuxième quinquennat d’Emmanuel Macron, aux contours bien incertains.

Il ne s’agit pas « du dernier Conseil des ministres, ni évidemment du 1er quinquennat d’Emmanuel Macron qui s’achève, je le rappelle, le 14 mai, ni de ce gouvernement » de Jean Castex, a déclaré Gabriel Attal à l’issue de la réunion à l’Elysée.

Le gouvernement actuel est « à sa tâche pour continuer à prendre les décisions nécessaires », a-il ajouté, citant notamment les aides au pouvoir d’achat face à l’inflation, la situation en Ukraine et le Conseil des ministres de l’énergie européen extraordinaire de lundi, « auquel participera évidemment Barbara Pompili« , la ministre de la Transition écologique.

L’entourage d’Emmanuel Macron évoque désormais une « cérémonie d’investiture le 8 mai », marquant le début du second quinquennat.

Selon cette source, le début de semaine a « été consacré à préparer les législatives ». Maintenant, « Emmanuel Macron va s’occuper du gouvernement » prochain. Et il pourrait attendre de l’annoncer au plus proche des législatives des 12 et 19 juin, « car c’est cela qui donnera la dynamique », avec l’espoir d’obtenir une majorité solide.

Ces heures de transition tournent au « supplice chinois pour tout le monde », dixit un ministre. Qui prévient: « Emmanuel Macron va prendre son temps. Mais n’est-ce pas un peu vain d’en parler ? ».

Les 40 membres du gouvernement Castex ont toutefois pu profiter jeudi d’une pause conviviale autour d' »un buffet déjeunatoire » aux allures d’adieux autour du chef de l’Etat.

Ce devait être un moment « gai et joyeux », avait assuré plus tôt la ministre de la Culture Roselyne Bachelot sur LCI. Tout en convenant du risque de coup de blues pour les ex, car « en quittant une fonction ministérielle, il y a toujours un moment de passage à vide ».

Marmoréen sur ses intentions, le chef de l’Etat s’amuse à disséminer des petits cailloux sur le profil du successeur de Jean Castex à Matignon, après avoir déjà dit que le Premier ministre serait directement chargé de la « planification écologique ». « Mais je n’ai pas le sentiment qu’il ait arrêté son choix », susurre un ministre.

Mercredi, lors d’une visite surprise sur un marché de Cergy (Val-d’Oise), le président a assuré que le prochain chef du gouvernement devrait être « attaché à la question sociale, à la question environnementale, à la question productive ».

« Je crois au dépassement, la couleur politique ne dit pas tout », a-t-il aussi souligné, comme pour mieux brouiller les pistes après une nette inflexion à gauche durant sa campagne d’entre-deux tours.

Quels « survivants » ?

La nature de l’écosystème politique et médiatique ayant horreur du vide, le jeu des spéculations tourne donc à plein ces derniers jours, chacun se muant en DRH plus ou moins bien intentionné.

La nom de l’actuelle ministre du Travail Elisabeth Borne revient donc régulièrement, au même titre que celui du ministre de l’Agriculture Julien Denormandie, voire de l’eurodéputé Pascal Canfin, président de commission environnement, qui a cependant lui-même balayé l’idée sur franceinfo.

Quelques élus locaux sont également poussés dans la presse, comme la présidente LR de la région Pays de Loire Christelle Morançais ou l’ancienne ministre LR Catherine Vautrin.

Plusieurs sources au sein de l’exécutif prédisent un fort renouvellement: « je ne suis pas sûr qu’il y ait beaucoup de survivants », avance ainsi un ministre.

Bruno Le Maire, Gérald Darmanin, Olivier Véran, Olivier Dussopt, Gabriel Attal, Sébastien Lecornu ou encore Amélie de Montchalin semblent partis pour rempiler. Mais quid de Jean-Michel Blanquer, Florence Parly, Eric Dupond-Moretti ou encore Marlène Schiappa ?

En attendant, l’atmosphère de la fin d’une période a saisi les cabinets où s’enchaînent les pots de départ. Les services de Matignon ont distribué en fin de semaine dernière les consignes administratives (archivage des documents, congés non pris etc) et les cartons ont été livrés dans la plupart des ministères.

Inde :
Dehli en alerte, frappée par une vague de chaleur extrême

Plusieurs décharges ont pris feu alors que le thermostat flirte avec les 45 °C, dans cette ville majeure d’Inde. Un incendie dure même depuis plusieurs jours.

Des pompiers de Delhi ont combattu ce jeudi 28 avril un incendie qui s’est déclaré il y a trois jours dans l’une des immenses décharges de la capitale indienne, au moment où sévit une vague de chaleur extrême dans le nord du pays.

Les météorologues prévoient que les températures à Delhi pourraient atteindre jusqu’à 46 °C jeudi. Les autorités ont émis une alerte et recommandé aux personnes vulnérables d’éviter de sortir. Jeudi matin, quatre brigades, soit une trentaine de pompiers, luttaient encore contre le feu dans des zones de la décharge difficiles d’accès, au troisième jour de l’incendie, a déclaré à l’AFP un responsable des pompiers de la capitale, ajoutant que le feu pourrait être maîtrisé d’ici vendredi.

Aucune victime n’a été signalée et les autorités enquêtent sur la cause de l’incendie. Au moins 10 camions de pompiers se sont battus toute la nuit de mardi à mercredi contre le feu qui a embrasé la montagne d’ordures de 60 mètres de hauteur de Bhalswa, dans le nord de Delhi, dont l’épaisse fumée s’ajoutait à la pollution atmosphérique. La mégapole de plus de 20 millions d’habitants manque d’infrastructures modernes pour traiter les 12 000 tonnes de déchets qu’elle produit quotidiennement. Trois autres incendies se sont déclarés en moins d’un mois dans la plus grande décharge de la capitale, Ghazipur, gigantesque montagne de déchets haute de 65 mètres. Des experts imputent ces feux à la chaleur torride qui frappe la ville actuellement. Selon Pradeep Khandelwal, ex-chef du département de la gestion des déchets de Delhi, tous ces incendies sont probablement provoqués par les températures extrêmement élevées qui accélèrent la décomposition des déchets organiques.

« Le temps sec et chaud produit un excès de gaz méthane sur les sites de décharge qui déclenche de tels incendies », a-t-il expliqué à l’AFP. La ville connaît depuis mars des températures au-dessus des normes saisonnières. Delhi a enregistré un maximum de 40,1 °C en mars, soit la température la plus chaude enregistrée pour ce mois dans la capitale depuis 1946. Les vagues de chaleur ont tué plus de 6 500 personnes en Inde depuis 2010, et les scientifiques affirment qu’en raison du changement climatique, elles sont plus fréquentes, mais aussi plus sévères.

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