Salama News

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Algérie 

Assemblée populaire nationale : inauguration du Groupe parlementaire d’amitié Algérie-Autriche

 Le groupe parlementaire pour l’amitié algéro-autrichienne a été installé ce mercredi mercredi à l’Assemblée populaire nationale dans le cadre du renforcement des relations bilatérales et de l’activation de la diplomatie parlementaire entre les deux pays, selon un communiqué de l’assemblée.

Le vice-président de l’Assemblée populaire nationale, Wahid Al-Sayed Al-Sheikh, a supervisé la cérémonie d’investiture en présence du sous-directeur des pays d’Europe occidentale au ministère des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Achache Lamine, ainsi que comme l’ambassadrice d’Autriche en Algérie, Christine Moser.

Au début de son allocution, M. Al-Sayed Al-Sheikh a passé en revue les « relations historiques qui lient les deux pays, qui sont fondées sur le respect mutuel et la concertation régulière », rappelant l’importance des groupes d’amitié parlementaires dans « la consolidation des liens de l’amitié entre les pays, surtout face aux transformations radicales que les relations internationales ont connues ces dernières années. » .

Dans un contexte connexe, le vice-président de l’Assemblée populaire nationale a exprimé son espoir que « le Groupe d’amitié contribuera à soutenir la coopération et les échanges entre les deux pays, permettant l’établissement de partenariats solides et efficaces qui servent des intérêts communs et répondent aux exigences des citoyens des deux pays, et permettre également d’intensifier les consultations sur les grandes questions qui préoccupent les deux pays.

Pour sa part, ajoute le communiqué, l’ambassadrice d’Autriche a souligné l’importance du « renforcement de la concertation et de la coopération dans tous les domaines », affirmant la détermination de son pays à « renforcer la coopération avec l’Algérie, notamment dans les domaines du commerce, de la santé et des échanges culturels

Bogali reçoit l’ambassadeur du Kenya en Algérie

Le président de l’Assemblée populaire nationale, Brahim Bougali, a reçu mercredi l’ambassadeur de la République du Kenya en Algérie, Peter Katana Angour, selon un communiqué de l’assemblée.

La même source a indiqué que la réunion a porté sur « le développement des relations bilatérales, qui ont atteint un niveau stratégique », ainsi que « les moyens de les renforcer dans divers domaines, ainsi que les moyens de porter la coopération entre les deux pays au niveau des relations politiques historiques qui les unissent, notamment en ce qui concerne le volet parlementaire qui a été soutenu par la constitution d’un groupe d’amitié en attente. » Constituer un mécanisme efficace de renforcement des liens de coopération dans tous les domaines, y compris l’échange d’expériences et .

Cette rencontre a également été – ajoute le communiqué – « l’occasion d’examiner un certain nombre de questions d’intérêt commun et a permis de montrer la congruence des vues des deux pays concernant le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination ».

Au passage, l’ambassadeur du Kenya a salué la profondeur des relations entre les deux pays et les efforts déployés pour promouvoir la coopération bilatérale, notant que le groupe d’amitié parlementaire des deux pays « va donner une forte impulsion aux relations et ouvrir une nouvelle fenêtre pour la coopération ». dans divers domaines. »

Au cours de cette rencontre, « les modalités de la visite officielle en Algérie du Président du Parlement de la République du Kenya, Musa Weta Ngangula, ont été évoquées à l’invitation du Président de l’Assemblée populaire nationale, du 17 au 25 février », selon à la même source.

Lancement de la première consultation nationale en

faveur des associations et des acteurs de la société civile

L’Observatoire national de la société civile a annoncé, mercredi, dans un communiqué, le lancement de la première consultation nationale en faveur des associations et des diverses activités de la société civile en Algérie, dans le but « d’incarner la démocratie participative avec des approches innovantes ».

La même source a expliqué que cette initiative, annoncée précédemment par le responsable de l’Observatoire, Noureddine Ben Brahem, vise à « donner l’opportunité aux responsables et affiliés des activités de la société civile de participer au développement et à la promotion de la performance des associations et l’incarnation de la démocratie participative avec des approches innovantes. »

Dans cette perspective, l’observatoire a appelé toutes les associations et tous les acteurs du champ de la société civile à « participer fortement à la concertation en choisissant un ou plusieurs des cinq axes spécifiques de concertation sur le travail associatif, représentés dans la loi sur les associations en Algérie, le financement les projets de ce dernier, la formation et le renforcement des capacités, et le statut et la place de la société civile. » Dans le développement local, le statut et le rôle régional et international de la société civile algérienne.

Le communiqué indique qu' »un groupe d’experts et de professeurs spécialisés dans le domaine de la société civile supervisera cette consultation pour qu’elle soit ensuite rédigée, étudiée et transmise au Président de la République », à condition que la participation à celle-ci se fasse via le lien http://onsc.gov.dz/consultation

Monde

Super Bowl

L’interprète chansigne de Rihanna a enflammé la toile

VIRAL La prestation de la mi-temps du Super Bowl, assurée par Rihanna, a été doublée en langue des signes par la chansigneuse sourde Justina Miles. Son interprétation est rapidement devenue virale sur les réseaux sociaux.

Pendant que Rihanna, en combinaison rouge sur une plateforme en lévitation, livrait une performance très attendue lors de la mi-temps du Super Bowl, c’est une autre interprète qui a failli lui voler la vedette. Robe noire et ongles longs, gestuelle précise et endiablée, Justina Miles, interprète en langue des signes, a enflammé la foule… Et la toile. Son interprétation de Bitch Better Have My Money en langue des signes a rapidement fait le tour des réseaux sociaux, notamment Tik Tok et Twitter, et passionné les internautes. Sa prestation a été vue des millions de fois sur les réseaux sociaux, ce qui a permis de donner un coup de projecteur au chansigne, discipline encore peu connue dans le monde des entendants.

SPORT

FOOTBALL

Liga : Le Barça aurait versé 1,4 million d’euros à un haut dirigeant de l’arbitrage espagnol

FOOTBALL Le FC Barcelone a payé 1,4 million d’euros à la société appartenant au vice-président de la commission technique des arbitres de la Fédération espagnole pendant trois ans, selon des médias

C’est un contrôle fiscal qui a permis de lever le lièvre, selon les informations de la Cadena Ser et du quotidien As. D’après ces médias espagnols, le FC Barcelone a versé 1,4 million d’euros à la société DASNIL 95 SL entre 2016 et 2018. Or, cette entreprise appartient à José María Enríquez Negreira, vice-président de la commission technique des arbitres de la Fédération espagnole (RFEF) entre 1994 et 2018.

Ces paiements sont d’autant plus suspects qu’ils ont cessé lorsque Enríquez Negreira, ancien arbitre de première division, a quitté ce poste stratégique. L’ex-président du Barça Josep Maria Bartomeu a indiqué à la radio SER Catalunya que ces paiements existaient depuis au moins 2003, et qu’ils ont été arrêtés dans le cadre d’une politique de réduction des coûts.

Des « conseils oraux » mais pas de favoritisme

Enriquez Negreira a assuré de son côté que s’il n’existait pas de documents prouvant l’existence d’un travail effectué contre cette rémunération, c’est parce qu’il délivrait des conseils oraux, pour expliquer notamment comment les joueurs Blaugrana devaient se comporter devant les arbitres. Il a aussi indiqué que sa société, dont l’unique administrateur est son fils, n’a travaillé que pour le FC Barcelone, mais qu’il n’a jamais favorisé le club catalan…

Reste à connaître désormais les conséquences sportives que pourrait avoir cette affaire. Selon la Cadena Ser, la société DASNIL 95 SL est inactive depuis 2019, soit un an après le dernier paiement du Barça.

France

Accident de Pierre Palmade : L’humoriste a été placé en garde à vue

DRAME L’accident de Pierre Palmade a eu lieu vendredi vers 19h00, sur la D372 au niveau de Villiers-en-Bière. La voiture de l’humoriste, qui conduisait sous l’emprise de la cocaïne, est entrée en collision avec un autre véhicule qui venait en face.

Après son accident de vendredi, Pierre Palmade a été placé en garde à vue ce mercredi après-midi, a annoncé Jean-Michel Bourlès, procureur de Melun. « Monsieur Palmade a été placé en garde à vue à 13h55 », a déclaré Jean-Michel Bourlès sans préciser le lieu de sa garde à vue.

Cet accident a fait trois blessés graves : une femme enceinte de 27 ans qui a perdu son bébé, un homme de 38 ans et un enfant de 6 ans. Mercredi matin un homme, soupçonné d’être l’un des deux passagers de la voiture de Pierre Palmade qui ont pris la fuite après l’accident, a été interpellé à Clichy (Hauts-de-Seine). Une femme qui l’hébergeait a également été interpellée à son domicile, selon l’une des sources policières. L’avocat d’un homme se présentant comme le deuxième passager de Pierre Palmade ayant pris la fuite a appelé les enquêteurs pour dire que son client allait se rendre, a-t-on également appris mercredi en début d’après-midi de source proche du dossier.

Deux des trois victimes encore en réanimation

L’accident de Pierre Palmade a eu lieu vendredi vers 19h00, sur la D372 au niveau de Villiers-en-Bière. La voiture de l’humoriste-vedette, qui conduisait sous l’emprise de la cocaïne, est entrée en collision avec un autre véhicule qui venait en face. Mercredi matin, deux des trois victimes de l’accident « étaient encore en réanimation », a déclaré leur avocat Me Mourad Battikh, sur BFMTV.

Le conducteur « a subi sept opérations » alors que son fils de six ans, « défiguré », « est alimenté par une sonde », a détaillé l’avocat. La troisième victime, une femme de 27 ans, belle-sœur du conducteur, attendait « son premier enfant », « une petite fille », qu’elle a perdue.

Pierre Palmade, également blessé dans l’accident, était hospitalisé au Kremlin-Bicêtre. L’humoriste avait été condamné en 1995 pour consommation de cocaïne. En 2019, il avait été placé en garde à vue pour usage et acquisition de stupéfiants après avoir été faussement accusé de viol.

Réforme des retraites 

La pétition intersyndicale franchit le cap du million de signatures

La pétition lancée en janvier par les huit principaux syndicats français contre la réforme des retraites a franchi mercredi le cap du million de signatures. Le texte porté par la CFDT, la CGT, FO, la CFE-CGC, la CFTC, l’Unsa, la FSU et Solidaires a franchi ce seuil symbolique, à la veille d’une cinquième journée de mobilisation contre le report de l’âge légal à 64 ans.

Selon change.org, seules deux autres pétitions ont dépassé le million depuis le lancement de la plateforme en France en 2012, sur la loi Travail (1,35 million) et « pour une baisse des prix du carburant à la pompe » (1,29 million). Le texte de l’intersyndicale dénonce un projet qui « va frapper de plein fouet l’ensemble des travailleurs, et plus particulièrement ceux qui ont commencé à travailler tôt, les plus précaires ». Il fustige un projet gouvernemental qui « n’a rien d’une nécessité économique », mais est « le choix de l’injustice et de la régression sociale ».

Ecosse 

Démission surprise de Nicola Sturgeon, la Première ministre indépendantiste

POLITIQUE Depuis huit ans au pouvoir, Nicola Sturgeon a annoncé ce mercredi quitter « ce travail [qui] est un privilège, mais aussi très difficile »

« Je suis un être humain. » A la surprise générale, la Première ministre écossaise Nicola Sturgeon a annoncé mercredi sa démission après huit ans au pouvoir, un départ qui porte un coup aux velléités d’indépendance de la nation britannique. Tout en faisant de l’indépendance écossaise le combat d’une vie, qu’elle portait avec détermination sans arriver à surmonter l’opposition de Londres, elle a décidé de jeter l’éponge.

Visiblement émue, parfois au bord des larmes, la dirigeante de 52 ans a indiqué devant la presse à Edimbourg qu’elle céderait son poste dès que le Parti national écossais (SNP) aurait désigné son successeur. « Ce travail est un privilège, mais aussi très difficile », a-t-elle souligné. « Je suis un être humain », a expliqué celle qui disait encore en janvier, après la démission de la Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern, avoir « plein d’énergie ».

« Sortir, seule, pour une marche »

« J’aurais pu faire quelques mois de plus, peut-être six mois, un an », a-t-elle estimé. « Mais avec le temps j’aurais eu de moins en moins d’énergie pour mon travail et je ne peux le faire qu’à 100 %, c’est ce que le pays mérite. » Assurant avoir longuement mûri sa décision, elle a cité les changements dans sa famille et les obsèques d’un proche, la difficulté de pouvoir « prendre un café avec un ami, ou sortir, seule, pour une marche ».

Son départ, sans successeur évident (elle a refusé d’apporter un soutien à quelqu’un), porte un coup à la cause indépendantiste, dont elle était une figure incontestée, déterminée et appréciée du public, et qu’elle soutenait depuis son adolescence.

Née dans la ville industrielle d’Irvine, au sud-ouest de Glasgow, Nicola Sturgeon a rejoint le SNP à l’âge de 16 ans. Peter Murrell, son mari, est directeur général du parti. Elle a pris la tête du SNP et du gouvernement écossais – première femme à ce poste – après la démission en 2014 de son prédécesseur Alex Salmond. Les Ecossais avaient alors voté à 55 % en faveur d’un maintien au sein du Royaume-Uni.

« Une redoutable politicienne »

Elle avait depuis avec patience repris le combat pour l’indépendance, revigoré par le Brexit auquel les Ecossais s’étaient majoritairement opposés. Elle a milité pour l’organisation d’un nouveau vote. Ces dernières années, les sondages, fluctuants, ont penché régulièrement en faveur d’un « oui » à l’indépendance. Mais le gouvernement britannique y reste fermement opposé, conforté récemment par la Cour suprême, laissant tout projet de référendum dans l’impasse.

Le Premier ministre conservateur Rishi Sunak a sobrement réagi au départ de Nicola Sturgeon en la remerciant pour son « long service » et lui souhaitant « le meilleur pour la suite ». Son ministre pour l’Ecosse Alister Jack a salué « une redoutable politicienne » mais appelé Edimbourg à profiter de son départ pour « abandonner son obsession pour l’indépendance, source de division ».

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