Salama News

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Algérie

Appel à parachever les préparatifs relatifs à l’organisation des examens scolaires

Le ministre de l’Education nationale, Abdelhakim Belaabed a appelé à parachever les préparatifs relatifs à l’organisation des examens scolaires nationaux/session 2023, a indiqué lundi un communiqué du ministère.

Présidant la clôture des travaux d’une Conférence nationale, tenue les 18 et 19 mars, consacrée à l’évaluation du 2ème trimestre et à la préparation des examens scolaires nationaux et de la rentrée scolaire 2023-2024, M. Belaabed a mis l’accent sur l’impératif d’ « arrêter toutes les mesures préparatoires et organisationnelles spécifiques aux examens scolaires nationaux/session 2023 ».

Le ministre a, également, appelé à l’impératif d’inspecter les centres d’examen et d’assurer toutes les conditions nécessaires au bon déroulement des examens, lesquels sont prévus du 5 au 7 juin pour le Brevet d’Enseignement moyen (BEM) et du 11 au 15 juin pour le Baccalauréat.

Le ministre a, également, chargé les présidents des quatre ateliers, de superviser les commissions nationales en charge des mêmes sujets débattus à l’occasion de la conférence, pour le suivi de la mise en œuvre des résultats de chaque atelier, l’aplanissement des difficultés et l’élaboration de rapports à lui soumettre, dans l’objectif de concrétiser « davantage d’efficacité et d’efficience ».

Le Premier responsable du secteur a, par ailleurs, ordonné de consentir « davantage d’efforts », en vue d’assurer toutes les conditions qui permettent de réaliser une rentrée scolaire réussie, en améliorant les modes de gestion et le système de gouvernance dans la gestion des ressources humaines, financières et matérielles, à travers la consolidation des efforts qui visent à garantir la transparence et la qualité de performance, la rationalisation des dépenses et la promotion de la gestion numérique en pratique quotidienne dans tous les services pédagogiques et administratifs.

Les quatre ateliers en question sont: l’atelier des préparatifs des examens scolaires nationaux/session 2023, l’atelier de l’encadrement pédagogique et administratif et des examens professionnels, l’atelier destiné à fixer les dernières opérations pour la préparation de la prochaine rentrée scolaire, ainsi que de l’atelier consacré à la situation de l’enseignement de la langue amazighe.

L’ARAV rappelle aux acteurs du secteur la nécessité de respecter les spécificités du mois sacré de Ramadhan

L’Autorité de régulation de l’audiovisuel (ARAV) a rappelé, lundi, à tous les acteurs du secteur la nécessité de contrôler leurs programmes, en respectant les spécificités du mois sacré de Ramadhan, et de ne pas se laisser emporter par l’appât du gain.

« Tous les acteurs du secteur de l’audiovisuel sont tenus de contrôler leurs programmes, en respectant les spécificités du mois sacré de Ramadhan, ainsi que les règles d’éthique et de déontologie, de ne pas se laisser emporter par l’appât du gain et l’audimat, d’éviter toutes formes de violence, et de respecter le référent religieux national », précise un communiqué de l’ARAV.

L’autorité appelle, en outre, « la nécessité de protéger les enfants et d’assurer un service médiatique qui soit à la hauteur des aspirations de la famille algérienne ».

A cette occasion, l’Autorité de régulation de l’audiovisuel tient à féliciter tout le peuple algérien et l’ensemble des travailleurs et personnels du secteur, en leur souhaitant Ramadhan Moubarak. 

Agrément à la nomination du nouvel ambassadeur d’Algérie à Amman

Le Gouvernement jordanien a donné son agrément à la nomination de M. Abdelkrim Beha, en qualité d’ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République algérienne démocratique et populaire auprès du Royaume hachémite de Jordanie, a indiqué, mardi, un communiqué du ministère des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger.

Air Algérie

Réduction spéciale Ramadhan de 50% sur les vols internationaux à destination d’Algérie

 Air Algérie a lancé mardi une réduction de 50% sur les classes de voyages « Y » et » H » au départ de l’international vers l’Algérie, à l’occasion du mois de Ramadhan, a indiqué la compagnie aérienne nationale dans un communiqué.

La période de vente des billets concernés s’étendra du 21 mars au 23 avril prochain, alors que la période de voyage s’étalera du 21 mars au 10 mai prochain, précise la même source.

« Cette procédure vient suite aux orientations émises par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, lors du Conseil des ministres tenu lundi », selon le communiqué.

Sonatrach

Développer la collaboration avec les partenaires africains via des capacités locales

 Le groupe Sonatrach œuvre à développer la collaboration avec les sociétés africaines des hydrocarbures pour trouver des opportunités d’investissement dans le secteur, à travers des capacités et des financements issus des pays du continent, a indiqué mardi à Alger le PDG du groupe, Toufik Hakkar. Plusieurs sociétés d’hydrocarbures de pays africains maîtrisent de plus en plus les technologies dont Sonatrach, ce qui doit permettre de hisser la collaboration intra-africaine dans ce secteur, a estimé le PDG de Sonatrach lors d’un point de presse en marge des travaux de la 4ème réunion des sociétés nationales des hydrocarbures des pays membres de l’Organisation des producteurs de pétrole africains (APPO). « Il est temps pour nous de trouver au sein de notre Afrique l’expertise, la technologie, le financement et les marchés pour répondre à nos besoins », a-t-il déclaré, faisant observer que ceux-ci « restent encore fortement dépendants des acteurs extra continentaux ».

Entretenant des relations « solides » fondées sur la complémentarité et l’intérêt commun avec plusieurs partenaires étrangers, Sonatrach bénéficie d’une expertise « de référence mondiale » prête à être partagée avec les sociétés d’hydrocarbures du continent, souligne M. Hakkar. « Dans cette optique, Sonatrach ne ménagera aucun effort pour partager ses expériences en matière de technologie sur des thèmes importants et sur les processus de développement de la production pétrolière et gazière », a-t-il assuré, réaffirmant l’engagement de la compagnie nationale des hydrocarbures au sein de l’APPO pour atteindre un haut niveau de compétitivité dans le domaine énergétique.

Pour sa part, le secrétaire général de l’APPO, Omar Farouk Ibrahim, a rappelé les missions de l’organisation africaine comprenant la collaboration technique et commerciale entre les sociétés membres dans le secteur des hydrocarbures, tout en soutenant le partage d’information et d’expertise dans le secteur.

Il s’agit aussi, a-t-il dit, de soutenir les activités de l’industrie pétrolière et gazière des Etats membres de manière concrète, tout en prenant en compte les défis liés à la transition énergétique. Pour ce faire, M. Ibrahim a jugé « nécessaire » pour les membres de l’APPO de collaborer davantage afin de réduire la dépendance hors du continent dans la recherche de solutions de performance dans l’ensemble du processus d’exploitation des hydrocarbures, et ce, avec l’appui « des importantes avancées » technologiques de l’industrie des pays membres. Le SG de l’APPO a également mis en avant l’expertise acquise par Sonatrach et dont pourraient bénéficier les autres sociétés du continent. « Nous pensons qu’au lieu de s’orienter vers l’Europe ou l’Amérique, nous pouvons trouver dans des pays africains des centres d’excellence dans le secteur », a-t-il estimé. Il rappelé, dans ce sens, la mise en place par l’APPO d’une banque dédiée à trouver des financements africains au profit des projets énergétiques continentaux, « Africa Energy Bank ». Cette banque est dotée d’un capital de 5 milliards de dollars financés conjointement par l’Afrexim Bank et l’APPO.

De son côté, le président sortant de la réunion des sociétés nationales des hydrocarbures des pays membres de l’APPO et PDG de la Sonangol (Angola), Sebastio Gaspar Martins, a appelé à relever « collectivement » les défis actuels de l’industrie africaine des hydrocarbures. Il a également estimé primordial pour les Etats africains de réduire leur dépendance hors du continent en terme de ressources techniques et financières, estimant que la collaboration intra-africaine doit permettre d’accomplir d’importantes avancées.

Monde

Thaïlande

 

La Thaïlande se prépare à des élections législatives cruciales en mai

L’opposition est largement en tête dans les sondages, mais elle doit se plier à des règles du jeu qui favorisent les anciens généraux putschistes.

Après la dissolution de l’Assemblée nationale, lundi 20 mars, par le premier ministre, Prayuth Chan-o-cha, la Thaïlande devra organiser des élections législatives dans moins de soixante jours, en principe le 7 mai. Ce scrutin, le deuxième depuis le coup d’Etat de 2014, est lourd d’enjeux puisqu’il dira si le pays reste prisonnier de l’entre-deux politique qui a suivi les élections de 2019, ou s’il (re)devient davantage démocratique, avec un probable retour au pouvoir du clan Thaksin, du nom de l’ex-premier ministre en exil dont la force de frappe électorale, à travers sa formation politique, continue d’être sans égale. En 2019, les trois généraux putschistes, menés par l’ex-chef des armées Prayuth (les Thaïlandais désignent les responsables politiques par leur prénom), avaient remisé leurs uniformes pour des habits civils taillés sur mesure avec la bénédiction du palais royal : pour se maintenir au pouvoir, ils avaient bénéficié d’un Sénat qui leur était acquis et de plusieurs coups de force juridiques ayant permis de dissoudre des partis d’opposition et de rendre inéligibles des dirigeants du camp d’en face. Quatre ans plus tard, les 250 sénateurs aux ordres sont toujours là, la Constitution adoptée par la junte militaire en 2017 imposant leur participation au vote désignant le premier ministre jusqu’en 2024. Le général Prayuth est toujours candidat à sa réélection, même s’il ne pourra pas occuper ce poste plus de deux ans, pour ne pas excéder la limite constitutionnelle de durée de mandat.

Fractures favorables à l’opposition

Et aucun tour de passe-passe de dernière minute n’est à exclure de la part d’un gouvernement semi-autoritaire qui a usé et abusé des outils répressifs mis à sa disposition par une justice sous emprise : près de 1 800 personnes ont été inculpées pour des crimes dits « politiques » depuis les grandes manifestations antiroyalistes de l’été 2020, dont environ 230 pour des violations de la loi de lèse-majesté. Une interprétation ultrazélée du fameux article 112 du code pénal a même conduit à la condamnation à deux ans de prison, le 7 mars, d’un homme de 26 ans pour avoir vendu sur Internet des calendriers représentant des canards de bain, au prétexte qu’ils prenaient des poses pouvant faire penser au monarque et ternir sa réputation.

 

Chine – Russie

A Moscou, Xi Jinping souhaite le maintien au pouvoir de Vladimir Poutine au-delà de 2024

Le président chinois, qui se dit « sûr » que les Russes soutiendront le chef du Kremlin lors des prochaines élections, multiplie les gestes de soutien envers son principal allié contre les Etats-Unis.

A peine arrivé à Moscou où il devait passer environ quarante-huit heures, Xi Jinping, qui ne cesse de critiquer les Etats-Unis pour leur ingérence dans les affaires intérieures des autres pays, n’a pu s’empêcher, lundi 20 mars, de faire de même. « Je sais que l’an prochain se tient dans votre pays une élection présidentielle. Grâce à votre gouvernance forte de ces dernières années, la Russie a obtenu beaucoup de succès. Je suis sûr que le peuple russe vous soutiendra », a affirmé le président chinois sous les ors du Kremlin – et l’œil des caméras – devant un Vladimir Poutine ravi. Avant même d’avoir annoncé sa candidature, celui-ci bénéficie donc d’un soutien de poids. Le message est bien passé. Cette mise en scène immédiatement répercutée par les médias russes a en effet donné le ton de ce sommet entre les deux présidents : la visite d’Etat de Xi Jinping en Russie est avant tout une relégitimation et une bouffée d’oxygène pour Vladimir Poutine sur la scène internationale. Un soutien précieux, trois jours après son inculpation par la Cour pénale internationale (CPI) pour crime de guerre. Visé par un mandat d’arrêt international, pour « déportation illégale » d’enfants ukrainiens, le chef du Kremlin prend désormais un grand risque s’il voyage dans l’un des 123 pays qui reconnaissent la CPI. Zéro risque en revanche avec la Chine : le président Xi a invité son alter ego « cette année », selon les médias russes.

France

Réforme de retraites

Selon le parquet de Paris, 425 personnes ont été placées en garde à vue lors des trois premières soirées de manifestations spontanées dans la capitale

Selon le dernier bilan consolidé par le parquet de Paris, 425 personnes ont été placées en garde à vue lors des trois premières soirées de manifestations spontanées, de jeudi à samedi, dans la capitale. Parmi elles, 52 ont fait l’objet de poursuites à l’issue de leur garde à vue. Les chiffres pour les soirées de dimanche et lundi ne sont pas encore disponibles

 

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